J'ai demandé souvent à des vins capiteux
D'endormir pour un jour la terreur qui me mine
Le vin rend l'oeil plus clair et l'oreille plus fine!

Charles Baudelaire (La Fontaine de Sang)

agosto 01, 2007

Valderiz 2003


DO: Ribera del Duero
2003
Tinto
14,5%
15 €
Gran vino con un cuerpo y una complejidad digna de los mejores Riberas. En vista resulta luminoso y espeso con una lagrimas muy destacables y un color ciruela oscuro. En nariz es un caldo muy abierto y aromatico con toques de frutos negros pero sobretodo aromas secundarios muy bien asociados. En boca lo que domina es un cuerpo muy presente con unos taninos perfectamente integrados y una gran persistencia en boca. Aromas complejos entre los que destacan la fruta nega, la madera y una pizca de ahumado. Buena acidez. Vino muy prometedor que quizas se disfrute aun mas de aqui un par de anos. De lo mejor en este orden de precios.

1 comentario:

Anónimo dijo...

En savourant les critiques oenologiques de ton blog, me vient à l'esprit un petit texte (tiré du blog miammiam.mabulle.com) dont je souhaitais te faire partager les effluves... bonne dégustation!

"Il m'est arrivé une histoire dont il faut que je vous donne, si je puis dire, la primeur.
C'était il y a quelque temps, au bal de la Nuits Saint Georges que j'ai rencontré la petite Juliénas, une fille drôlement Gigondas, un sacré beau Meursault, bien charpentée, et sous sa robe vermillon un grand cru classé, avec des arômes de cassis et de fraises des bois.
On a dansé Anjou contre Anjou sur un Sylvaner à la mode et plus tard lorsque je lui ai proposé de l'emmener dans mon Châteauneuf-du-Pape, elle est devenue toute Croze-Hermitage !!!
Le temps d'aller chercher un Chablis au vestiaire, de mettre un petit Corton dans ses cheveux, on est montés dans ma Banyuls et on a roulé jusqu'au matin.
Ah quelle belle journée ! On s'est baladé Entre-deux-mers, il faisait beau, on a Vacqueyras sur la plage, les pieds dans l'eau Clairette, on s'est Pouilly-Fuissé dans les dunes et puis comme le Mercurey montait sérieusement et qu'on commençait à avoir les Côtes-Rôties on a décidé de rentrer.
Mais voilà, en partant nous nous sommes retrouvé coincés dans les embouteillages, enfin les bouchons, quoi ! Je commençais à Minervois sérieusement et là, Julienas et moi, nous avons commencé à nous crêper le Chinon .
D'un seul coup elle a claqué la Corbière de la Banyuls et elle est partie !
Je me suis retrouvé comme Macon. Quoi, me suis-je dit, elle s'est déjà Sauvignon avant même que j'ai le temps de la Sauternes ! Mais je vous Jurançon, je l'avais dans la Pouillac, en effet, j'étais tellement Tokay que j'ai couru après elle dans Lalande et les Chardonnay pour la rattraper.
Quand on s'est retrouvés, et que je l'ai vue devant moi en Gros-plant, je lui ai dit -" Ne fais pas ta Pomerol, et ne t'en va plus Gamay ! " En pleurant, elle est tombée dans mes bras en Madiran
- "Ne m'en veut pas, je voulais juste être sure que ton Saint-Amour était vraiment Sancerre".
Depuis on ne sait plus cuités..."